Triste époque - Doria

Aunque está amaneciendo Todo se oscureció Porque estaba leyendo Lo que me dijiste Te di tanto y no lo viste Lejos de ti como si fueras nociva Tú siempre seca aunque afuera llovía Si fuera por mí, ahí estuvieras todavía Si fuera por ti, te quedarías toda la vida Pero siempre estabas triste Los ojos rojos y no fue porque prendiste Tantas promesas y tú nunca las cumpliste No sabes en la que me metiste, yeh Lejos de ti como si fueras nociva Tú siempre seca aunque afuera llovía Si fuera por mí, ahí estuvieras todavía Si fuera por ti, te quedarías toda la vida Pero siempre estabas triste Triste, triste, triste, triste, triste Triste, triste, triste, triste, triste Triste, triste, triste, triste Si no te arrepientes, te arrepentirás Si no recuerdas, lo recordarás Lo que tú diste, lo recibirás Lo que yo di, ¿ahora quién me lo da? Traté de arreglar lo que estaba roto Estar juntos no era pa' nosotros Sé que no miento, no me equivoco No querías y ahora yo tampoco Por eso me fui, me tiraste al suelo Y yo me recogí, y ahora te quiero lejos de aquí Tú no me enseñaste, pero yo aprendí Me di cuenta, mejor así Mejor que tú te quedes sin mí Mejor que yo me quede sin ti Lejos de ti como si fueras nociva Tú siempre seca aunque afuera llovía Si fuera por mí, ahí estuvieras todavía Si fuera por ti, te quedarías toda la vida Pero siempre estabas triste Los ojos rojos y no fue porque prendiste Tantas promesas y tú nunca las cumpliste No sabes en la que me metiste Pero siempre estabas triste Triste, triste, triste, triste Triste, triste, triste, triste, triste Triste, triste, triste, triste, triste

Sad is to live in solitude Far from your tranquil altitude Sad is to know that no one ever can live on a dream That never can be, will never be Dreamer awake, wake up and see Your beauty is an aeroplane So high my heart can't bear the strain A heart that stops when you pass by Only to cause me pain Sad is to live in solitude Your beauty is an aeroplane So high my heart can't bear the strain A heart that stops when you pass by Only to cause me pain Sad is to live in solitude

Si j'prends la parole, j'prends le risque qu'on me la ferme Trop d'infos sur moi, j'prends le risque de tout perdre J'vais retenir mes mots, j'vais réfléchir à ce merdier J'ai peur de dire des choses qu'ils aimeraient bien détourner C'est de l'humour quand ça t'arrange, c'est de l'attente quand ça dérange Le problème c'est pas l'mélange, il faut savoir qui tu fréquentes Parlez sur moi, parlez sur moi Répandez vos histoires, regagnez de l'espoir Seul l'avenir nous le dira Moi, j'veux compter mes victoires J'anticipe le virage J'veux plus voir certains visages D'apparence toujours très sure, au fond de moi, j'en sais trop rien J'porte combien de blessures, cabossée comme un tout-terrain J'ai préféré le VTT, pas kiffé le VTC Trop serrée dans vos soirées, trop stressée dans vos diners Contrôler, j'essaie, sans savoir c'qu'on nous réserve Sans savoir ce qui nous préserve, j'ai pris sur moi, sans méthode Je prends sur moi (c'est pas ma faute) J'suis déstabilisée (c'est pas ma faute) J'suis pas venue sympathiser (c'est pas ma faute) J'veux rentabiliser (c'est pas ma faute) Donc, j'prends sur moi-même (c'est pas ma faute) Traumatisée (c'est pas ma faute) J'ai fait le tour, j'suis fatiguée (c'est pas ma faute) J'vais pas m'en aller, faudra s'y faire (c'est pas ma faute) Plus mes mots sont durs, et plus je m'endurcis Plus mes choix sont sûrs, plus les regrets me poursuivent On a fait le tour, on n'a pas pris de détour, nan Respecter les codes, on n'est pas montés dans les tours Problèmes d'intégrité, j'suis toujours plus proche du contraire Problèmes de dignité, j'ai trop de mal à dire je t'aime J'préfère rester loin d'vous, loin d'tout, moins j'souffre J'préfère rester seule tout, sans vous, j'm'étouffe Souffrir, c'est tabou, marqué comme un tatou Gros, y a plus de me too, d't'façon, j'suis mieux si j'suis seule tout J'me suis perdue sur l'carrefour, encore plus sec que dans l'Darfour Mes yeux pleurent plus tout court, le verre est vide, le temps s'écoule Contrôler, j'essaie, sans savoir c'qu'on nous réserve Sans savoir ce qui nous préserve, j'ai pris sur moi, sans méthode Je prends sur moi (c'est pas ma faute) J'suis déstabilisée (c'est pas ma faute) J'suis pas venue sympathiser (c'est pas ma faute) J'veux rentabiliser (c'est pas ma faute) Donc, j'prends sur moi-même (c'est pas ma faute) Traumatisée (c'est pas ma faute) J'ai fait le tour, j'suis fatiguée (c'est pas ma faute) J'vais pas m'en aller, faudra s'y faire (c'est pas ma faute)

Drop ça, job sale, que du ta3na, que du tah sah Debza, do3a, que dieu me protège je leur fais du mal Poto canalise, fume le cannabis, analyse Ne me fait pas la bise quand tu pues la tease Sur la piste que ça chni de la hiss, ils sentent le bois d'épice Que ça me piste, donc je les banalise, gros t'auras pas ma fiche Tu connais pas la fille, tu connaitras la suite, dure comme Annalise Poto analyse, tu touches et c'est la crise Je la chope, chope par le bandeau, ici c'est la rue ou la weed Que du sale, sale dans la ne-zo, pour le bendo je les traumatise Wouh, wouh, wouh, il y a les civils dans l'allée Wouh, wouh, wouh, je les ai tous vu cavaler Dans le hood, hood, hood moi je me pavane de la savane C'est sauvage, ma ville est saccagée Poto il y a rien à faire, poto il y a rien à voir Occupe-toi de tes affaires moi je veux pas de ton linge sale J'ai les oreilles qui saignent quand j'entends leurs histoires Gros c'est chacun sa merde, c'est chacun son bail C'est marche ou crève, gros tu connais la fight Tous les manger ou se faire graille, gros tu connais la fable Et très peu sont très fiable, devant les femmes deviennent faible Ils ont truqué ma part, à moi que revient la fève Je m'endors je pense au khaliss, je me lève je pense au khaliss Regarde dans mes yeux, gros la vie me joue des caprices Je m'endors je pense au khaliss, je me lève je pense au khaliss Regarde dans mes yeux, gros la vie me joue des caprices Les vrais il y en a pas dix, des potes il y en a facile Je vis ma vie à cent à l'heure ils veulent me voir sur le pare-brise Les vrais il y en a pas dix, des potes il y en a facile Je vis ma vie à cent à l'heure ils veulent me voir sur le pare-brise Pour ma mère je pourrais plomber du monde Le bien, le mal, les sentiments qui m'encombrent Et puis le soir je pense au châtiment de la tombe Je voudrais briller comme une étoile mais le ciel m'interdit le son