Dat jij kookt, gap, neem ik met een korreltje zout M'n hoofd heet, hah, terwijl ik niet van borrelen houd Loop met een Albert Heijn-tas die een tonnetje sjouwt Ik zie nooit de hoofdingang, ik loop om het gebouw 'K zeg je eerlijk, zonder eer vind ik je eigenlijk blut Ik zie je moeder op een fiets en jij een trein in de club Je draagt die Roley om je pols, maar bent al tijden niet druk, nee Die cokelijn die liep uiteindelijk stuk En mijn leven is een film en ik dacht, ik blijf stunten Weet nog hoe jij pizza at en mij niet eens een slice gunde Zomertoer, vijf nullen, ik hoor, jij bent vrij rustig Je bitch pijpt iedereen, hoe kan je deze meid kussen Zeg hem, weet alleen wat slagen is, weet niet eens wat slapen is Breng me naar een booth, elke beat krijgt een begrafenis Kijk, al zou jij vuur brengen was dat op een lage pit Jouw hele osso is misschien wat mijn garage is Raampje dicht, anders klimmen ze naar binnen Nu leg ik drie barkie voor die beddengoed van linnen Ik heb altijd moeten klimmen en zelfs nu kan ik niet chillen, nee Want teveel fans en muziek is wat ze willen Ik kom van een wijk waar niemand met de police praat Kom van een wijk inbreken of narcotica Sirenes die ervoor zorgen dat je sowieso niet slaapt Ik heb alles zelf moeten bouwen als Utopia En was al heet, maar deze dagen is de boy warmer En wees eens real, want als ik viel zou je me nooit vangen Kom van in de sloten liggen tussen kooikarpers Versace-slippers aan, nu loop ik op mooi marmer Vijf K voor die steentjes op m'n pinkje Kom even zitten, kom een theetje met me drinken Toen ik hoorde wat hij bood moest dat eventjes bezinken Je bent een clown, jij vergeet alleen te schminken En we leven in een tijd dat mensen nu corona hebben Dus wees een man en ga eens eten naar je oma brengen Die drie weken binnen gaan ze sowieso verlengen Chill hem rustig aan m'n bar of in m'n bioscoop met sterren En je moet dromen hebben en daar achteraan gaan Nu staan ze in de rij, 'k laat ze lekker achteraan staan De meesten willen chillen, laten werk van de baan gaan Maar staan nu rood alsof ze achter raam staan Zahma van de straat, hah, want je trekt die shank vlug Jallah naar de koezina, breng je moeders mes terug Bijna op Schiphol en ik draai die toeter echt vlug Dromen zijn bedrog toch, wat nou als het echt lukt Strepen als een tijger, heb ook assie, pass je lighter Trinna aan van een designer, ik moet rennen, mattie timer daar Ik ben aan het schrijven, denk niet eens meer aan die wijven Ben alleen nog maar op grinden, pak miljoenen, dan verdwijn ik naar

Sommes-nous le dernier des Mohicans Des malheureux À nous rêver tout simplement Une vie à deux Et si tout ça fait de nous des fous Tant mieux Sommes-nous le dernier rempart D'un monde démodé Qui rêve de guitare Plus que de gros billets Et si tout ça fait de nous des fous Parfait C'est nous les imbéciles On s'est planté décidément C'est écrit dans les magazines À l'encre débile À l'encre débile C'est nous les imbéciles Oui mais heureux décidément C'est pas dit dans les magazines Pourtant Ouhouhouh J'ai jamais voulu qu'on me voit en plus grand plus beau plus blanc Que je n'le suis vraiment J'ai fait des faux pas oui mais faut pas Non qu'on en parle apparemment Faut-il étouffer tous nos défauts Nos sentiments Et sommes-nous la mémoire D'un monde abandonné Où peu importe la part Tant qu'on a la paix Mes amis je veux qu'à mon départ Vous chantiez C'est nous les imbéciles On s'est planté décidément C'est écrit dans les magazines À l'encre débile À l'encre débile C'est nous les imbéciles Oui mais heureux décidément C'est pas dit dans les magazines Pourtant Les imbéciles heureux Les imbéciles heureux Les imbéciles heureux C'est nous les imbéciles On s'est planté décidément C'est écrit dans les magazines À l'encre débile À l'encre débile C'est nous les imbéciles Oui mais heureux décidément C'est pas dit dans les magazines C'est pas dit dans les magazines Pourtant

Ça doit être la 700 000ème fois Que je te vois t'habiller Choisir cette culotte ou celle là Que je te vois t'abîmer On n'a pas vraiment vieilli Parce qu'on se sent capable de tout encore Mais on a gagné quelques plis Sur le corps Mais si la vie par malchance me fait louper quelques rendez-vous Pour cause de mollesse, négligence de jeunesse Même si ensemble finalement, on ne devait pas aller au bout Mais ça fait 10 ans que t'es passée devant mes yeux 10 ans que j'me dis que, c'est ce qui m'est arrivé de mieux On se l'est tellement dit que ce serait pour longtemps Que finalement 10 piges ça paraît pas tant C'est pas si épatant, ça rafraîchi l'odysée Même si l'on contemple plus que l'on agit, plus que l'on réussi On essaye, on essaye Mais si la vie par malchance me fait louper quelques rendez-vous Pour cause de mollesse, négligence de jeunesse Même si ensemble finalement, on ne devait pas aller au bout Mais ça fait 10 ans que t'es passée devant mes yeux 10 ans que j'me dis que, c'est ce qui m'est arrivé de mieux Oh mais si à l'avenir on passe à côté Si on n'exige pas au moins aussi bien que ce qui vient de se passer Moi, j'ai encore nos débuts en mémoire, nos espoirs Et je rougis pas de ce qu'on est devenu Deux enfants plus tard 10 ans de nous, 10 ans de nous Est-ce que je tresse pas trop tôt des lauriers 10 ans de nous, 10 ans de nous Est-ce que je tresse pas trop tôt des lauriers 10 ans de nous, 10 ans de nous À deux doigts d'oublier qu'on s'est déjà perdu 10 ans de nous, j'attends pas de toi tout Mais j'attends de nous ça et j'attends de nous tout 10 ans de douceur, de souffrance, de coup de peur De tourments, de loups et de tournant Des souffleurs de crises et des bonheurs qui se brisent Mais qu'on s'est ranimé Ce sera ça aimer, pour nous c'est ça

C'est vrai que dans ses draps fourbus Jusqu'aux aurores à l'inconnu Elle a roulé à demi-nue Son corps de bras en bras tendus C'est vrai qu'au vent de ses cheveux À ses parfums de safran bleu Elle a brûlé à petit feu Sa liberté, manière de jeu Elle a dans son regard Un reste d'étendard L'ombre d'un corbillard Que poussent des pillards Moi je l'ai tant aimée Tant aimée Que mon corps est pétri Des parfums de sa vie Moi je l'ai adorée Adorée Et mon corps est pétri Des parfums de sa vie C'est vrai qu'au bord de ses écarts Ses yeux froissés sont en retard Quand sonne l'heure de leur départ Ou d'un sourire, ou d'un regard Elle a le corps ouvert Aux rives des adultères À la caresse amère Des amours passagères Moi je l'ai tant aimée Tant aimée Que mon corps est pétri Des parfums de sa vie Moi je l'ai adorée Adorée Et mon corps est pétri Des parfums de sa vie C'est vrai qu'elle a donné souvent Des nuits, des rêves éblouissants Moi je l'ai tant aimée Tant aimée Que mon corps est pétri Des parfums de sa vie Moi je l'ai adorée Adorée Et mon corps est pétri Des parfums de sa vie Moi je l'ai tant aimée Tant aimée Que mon corps est pétri Des parfums de sa vie Moi je l'ai adorée Adorée Et mon corps est pétri Des parfums de sa vie Des parfums de sa vie Des parfums de sa vie Des parfums de sa vie