Origen del Silencio (Mineras) - Amir John Haddad - EL AMIR

Del origen del juego Se ha creado un jardín Yo lo conozco Y allí aprendí Que el presente es tierra Para pisar, para construir Y crecer Por siempre Para entrar a este diáfano sitio Inventarás la puerta Cuando tu alma se haya perfumado De jazmines, albas e instinto Y te sientas nuevo Siendo el mismo Sin lugar al que llegar Pienso que El presente es tierra Para caminar, para florecer Y amar Por siempre Para entrar a este diáfano sitio Inventarás la puerta Cuando tu alma se haya perfumado De jazmines, albas e instinto Y te sientas nuevo Siendo el mismo Siendo el mismo Siendo el mismo Siendo el mismo

J'veux des problèmes J'veux que tes galères deviennent les miennes J'veux que tu me balance au visage tes orages, tes peines Pour des nuits diluviennes J'veux qu'on s'apprenne J'veux partager tes joies, tes migraines Ton corps me donne le vertige Et tes main me mènent où rien ne nous gêne J'pourrais me tatouer notre histoire sur le bras Me mettre dans de beaux draps si t'es avec moi C'est toi dans ce monde de fou Je le sais, c'est tout Et j'voudrais que ça dure longtemps User ma peau sur la tienne Un jour, j'oublierais tout jusqu'à mon nom Je saurais simplement que t'es là, que t'es belle, que t'es mienne J'voudrais que ça dure cent ans Que jamais la raison n'atteigne Cet aveu, cette envie de rêver tout les deux quand même Jusqu'à ce qu'un jour nos deux yeux s'éteignent Mon évidence, t'es mon sourire et ma carte chance J'veux qu'on déconne, qu'on décolle, qu'on délire Qu'on danse jusqu'au dernier silence J'irais dans la rue si t'as besoin d'un toit J'pourrais vivre nu pour que t'aies un peu moins froid C'est toi dans ce monde de fou Je le sais, c'est tout Et j'voudrais que ça dure longtemps User ma peau sur la tienne Un jour, j'oublierais tout jusqu'à mon nom Je saurais simplement que t'es là, que t'es belle, que t'es mienne J'voudrais que ça dure cent ans Que jamais la raison n'atteigne Cet aveu, cette envie de rêver tous les deux quand même Jusqu'à ce qu'un jour nos deux yeux s'éteignent Et j'voudrais que ça dure longtemps User ma peau sur la tienne Un jour, j'oublierais tout jusqu'à mon nom Je saurais simplement que t'es là, que t'es belle, que t'es mienne J'voudrais que ça dure cent ans Que jamais la raison n'atteigne Cet aveu, cette envie de rêver touq les deux quand même Jusqu'à ce qu'un jour nos deux yeux s'éteignent