(Roch Voisine/Marcel Lefebvre) Tourn, j'ai tourn, Des heures? t'aimer Le soleil n'osait plus se lever Tourn, j'ai tourn, Le ciel, toil, Dans tes yeux, j'aurais presque pleur, Tourn, j'ai tourn, Promis de rester Pr? s de toi pour une, ternit, Tourn, j'ai tourn, Tes mots dans ma t^te Tu m'as dit en restant sur le quai... "Va, mon amour Mon courrier au long cours Je t'attends? Paris Les yeux couleur de pluie Ta promesse, troubadour M'a fait le cour en tambour Pour encore combien d'heures Et de jours Pour ton retour" "Va, mon amour Mon courrier au long cours Je t'attends? Paris Les yeux couleur de pluie Ta promesse, troubadour M'a fait le cour en tambour Pour encore combien d'heures Et de jours Pour ton retour"

On prendra l'temps qu'il faudra Yeah, yeah On prendra l'temps qu'il faudra On prendra l'temps qu'il faudra Yeah Bébé, ne crains rien (bébé, ne crains rien) Je sais d'où tu viens (je sais d'où tu viens) T'as vécu la pire des choses (pire des choses) Tu as mon soutien (tu as mon soutien) Et ton corps se souvient (et ton corps se souvient) De la dernière main (de tous les coups) Tatouée sur ta peau (sur ta peau) Mais ce n'était pas moi Ça prendra l'temps qu'il faut mais Je vais te soigner (j'vais te soigner) J'attendrai le temps qu'il faudra, si tu le permets (si tu le permets) J'te fais la promesse (j'te fais la promesse) De n'pas faire de promesses (de n'pas faire de promesses) Te donner ce qu'il faut mais sans faire de promesses J'ne suis pas ton ex, j'ne suis pas dangereux Là promis, c'et tentant, je vais te rendre heureuse Fini l'époque où ta confiance était aveugle, aveugle yeah Que plus personne s'approche de toi, c'est c'que tu veux Tu n'laisseras plus un homme te rendre malheureuse Les coups qu'il t'a portés t'ont bien ouvert les yeux, les yeux, yeah Tu dis qu'y a pas d'avenir entre toi et moi Parce qu'au final, les hommes, on est tous les mêmes, yeah Tu dis qu'y a pas d'avenir entre toi et moi Mais laisse-moi essayer d'régler tes problèmes, yeah Bébé, ne crains rien (bébé, ne crains rien) Je sais d'où tu viens (je sais d'où tu viens) T'as vécu la pire des choses (pire des choses) Tu as mon soutien (tu as mon soutien) Et ton corps se souvient (et ton corps se souvient) De la dernière main (de tous les coups) Tatouée sur ta peau (sur ta peau) Mais ce n'était pas moi Ça prendra l'temps qu'il faut mais Je vais te soigner (je vais te soigner) J'attendrai le temps qu'il faudra, si tu le permets (si tu le permets) J'te fais la promesse (j'te fais la promesse) De n'pas faire de promesses (de n'pas faire de promesses) Te donner ce qu'il faut mais sans faire de promesses Tu n'arriveras pas à m'éloigner de toi Juste parce que tu as peur que j'puisse te décevoir T'es l'héroïne qu'j'sauve à la fin de l'histoire, de l'histoire yeah Puisque j'peux pas promettre il ne te reste qu'à voir Je te propose, je te donne, tu n'as qu'a recevoir Tes yeux confirmeront ce qu'ton cœur peine à croire, à croire yeah Tu dis qu'y a pas d'avenir entre toi et moi Parce qu'au final, les hommes, on est tous les mêmes, yeah Tu dis qu'y a pas d'avenir entre toi et moi Mais laisse-moi essayer d'régler tes problèmes, yeah Bébé, ne crains rien (bébé, ne crains rien) Je sais d'où tu viens (je sais d'où tu viens) T'as vécu la pire des choses (pire des choses) Tu as mon soutien (tu as mon soutien) Et ton corps se souvient (et ton corps se souvient) De la dernière main (de tous les coups) Tatouée sur ta peau (sur ta peau) Mais ce n'était pas moi Ça prendra l'temps qu'il faut mais Je vais te soigner (je vais te soigner) J'attendrai le temps qu'il faudra, si tu le permets (si tu le permets) J'te fais la promesse (j'te fais la promesse) De n'pas faire de promesses (de n'pas faire de promesses) Te donner ce qu'il faut mais sans faire de promesses On prendra l'temps qu'il faudra, yeah On prendra l'temps qu'il faudra, yeah, yeah Oh oh ah

Non, les mecs, tout ça, c'est du cinéma, la vérité Pas de, pas de drogue, quoi Sully' Nan, j'me drogue pas, drogue pas, nan, maman, j'me drogue pas J'essaie de marcher droit, y'a que le dealer, fait des croches-pattes Cauchemars, cauchemars, sur le boulevard Haussmann Y'a que les clochards et le cul de Beyoncé qui se troquent pas Nan, maman j'me drogue pas, nan, maman, j'me drogue pas J'essaie de marcher droit, y'a que le dealer, fait des croches-pattes Cauchemars, cauchemars, sur le boulevard Haussmann Y'a que les clochards et le cul de Beyoncé qui se troquent pas J'recherche un permis de port d'arme Pour pouvoir continuer d'être V.A.L.D. hors cam' J'ai la fève et l'orgasme, c'est la fête et j'cause pas J'ôte ma délabrée de basket, et je Drogba tes ratiches Poto, c'est l'affiche d'être à mi-chemin De me mâcher la pine pour gratter ma pouche Pour rapper, ma bouche fait des bruits de seins qui s'entrechoquent Et j'échoue jamais si la choupinette m'a trouvé chou Souvent, j'retrouve des shoots échoués sous mes shoes Jouer les troubadours n'est pas dans mes souhaits, je fous que des coups Oui, je dickslap, dickslap, j'fais gaffe à ce qui se trame Juste derrière mon Eastpak, rejoins-moi ou l'Islam (l'Islam) C'est vrai qu'éméché j'ai péché, mais j'ai jamais prêché Sur les quais du TGV, c'est ça de moins sur mon CV V.A.L.D.T.C aka L'PCP en DDP Le pet précédé d'un wack MC décédé Décidément, j'ai la pêche comme la pression préférée Pour flamber ta paie, nique la dépression, j'ai la Tête à l'envers, sa schneck allant vers le haut, vers le bas Je veux faire de l'euro tout en restant fier de moi Exactement, triche aux exams J'ai jamais pris d'exta', j'ai peur que ça me plaise, ça Bestial comme ta saloperie de caisse braquée C'est fou ce que l'homme peut faire pour s'acheter un G-Star, n'est-ce pas? Sullyvan surine à vue, oui, j'urine aussi sur ton posse Nique la survie de ta musique (de ta musique) NQNT, t'es plus, t'es dead, j't'ai vu lécher pour un écu, c'est gay J'ai plus de respect pour la sécu', j'pénètre Oui, j'pénètre tout ce qui bouge, louche ce qu'on trouve Derrière des bouts de tissus, des gens qui souffrent Des jambes qui s'ouvrent avec des grandes pilules J'remplis tout, j'fais de mon mieux Mieux, c'est mieux que bien Et le bien, hé bien, le bien n'existe que peu J'pige le jeu, je trime, je veux être riche gueux Mon style fait la dif', qu'il arrondisse mes fins de mois, ce petit fils de, fils de Nan, j'me drogue pas, drogue pas, nan, maman, j'me drogue pas J'essaie de marcher droit, y'a que le dealer, fait des croches-pattes Cauchemars, cauchemars, sur le boulevard Haussmann Y'a que les clochards et le cul de Beyoncé qui se troquent pas Nan, maman j'me drogue pas, nan, maman, j'me drogue pas J'essaie de marcher droit, y'a que le dealer, fait des croches-pattes Cauchemars, cauchemars, sur le boulevard Haussmann Y'a que les clochards et le cul de Beyoncé qui se troquent pas Non, la vérité frère, la vérité

Soli Per un attimo Caduti Dentro altre immagini Altra gente in me Non tu Ma non è importante perché io so già che poi Ti amerò di più Come aeroplani Nella nebbia, io e te Disperatamente cerchiamo Un campo di atterraggio in noi Non temere non c'è fretta, sai Vedrai Naturalmente poi Ti abbraccerò, mi abbraccerai Un albero fiorì Qualche primavera fa Rimase in fondo all'anima un frammento rosa È logico che noi Ci rifugiamo lì Al primo freddo Anche un niente caldo diventa qualcosa Soli Ma solo per un attimo Improvvisamente confusi, sospesi Quasi due estranei Altra gente in te Non io Ma non è importante perché io so già che poi Mi amerai di più

Non sarà un'avventura Non può essere soltanto una primavera Questo amore non è una stella Che al mattino se ne va Oh, no, no, no, no, no, no Non sarà un'avventura Questo amore è fatto solo di poesia Tu sei mia, tu sei mia Fino a quando gli occhi miei Avran luce per guardare gli occhi tuoi Innamorato Sempre di più In fondo all'anima Per sempre tu Perché non è una promessa Ma è quel che sarà Domani e sempre Sempre vivrà Sempre vivrà Sempre vivrà Sempre vivrà No, non sarà un'avventura Un'avventura Non è un fuoco che col vento può morire Ma vivrà quanto il mondo Fino a quando gli occhi miei Avran luce per guardare gli occhi tuoi Innamorato Sempre di più In fondo all'anima Per sempre tu Perché non è una promessa Ma è quel che sarà Domani e sempre Sempre vivrà Perché io sono innamorato Sempre di più In fondo all'anima Ci sei per sempre tu

Era aprile, era maggio Era, chi lo sa Era bella o era bella Solo la sua età Non ricordo se sorrise Quando se ne andò Io l'amavo, io l'amavo Solo questo so Io credevo tante cose Che non credo più Non per questo sono triste Ora ci sei tu Ho paura, ho paura Quando penso che Era, era, era, era Era come te

Respirando, la polvere dell'auto che ti porta via Mi domando, perché più ti allontani e più ti sento mia Respirando, il primo dei ricordi che veloce appare Sto fumando, mentre entri nel cervello e mi raggiungi il cuore Proprio in fondo al cuore, senza pudore Per cancellare, anche il più antico amore Respirandoti, io corro sulla strada senza più frenare Respirandoti, sorpasso sulla destra e vedo un gran bagliore Lontano una sirena e poi nessun rumore Lasciarti è fra i dolori quel che fa più male Fra tanta gente nera una cosa bella, tu al funerale Respirando (Respirando) Pensieri un po' nascosti mentre prendi il sole (Mentre prendi il sole) Ti stai accorgendo (Accorgendo) Che "un uomo vale un altro" sempre, no, non vale Respirando più forte, ti avvicini al mare Stai piangendo, ti entro nel cervello e ti raggiungo il cuore Proprio in fondo al cuore, senza pudore Per cancellare, anche il più nuovo amore Respirandomi, ti vesti e sorridendo corri e poi sei fuori Respirandomi, tu metti in moto l'auto ed accarezzi i fiori Lontano una sirena e poi nessun rumore Dolore è una gran gioia che addolcisce il male Fra tanta gente nera una cosa bella tu a me uguale (Tu a me uguale) Respirandoci Respirandoci, guardiamo le campagne che addormenta il sole (Respirandoci) Le fresche valli, i boschi e le nascoste viole (Respirandoci) Le isole lontane, macchie verdi e il mare I canti delle genti nuove all'imbrunire I canti delle genti nuove all'imbrunire I canti delle genti nuove all'imbrunire

Anonima la casa, anonima la gente Anonimo anch'io Un cane e ciak azione All'improvviso un morso: figlio mio! La frutta nel giardino, i panni nel catino E lei, ore ed ore Le gambe nude, il volto acceso ed una colpa Dieci anni maggiore C'era lei E cos'altro ancora? Nascosti giù al fosso, complice il sesso A misurarsi, a masturbarsi un po' L'impulso di uno scatto La palla, io che batto. Che rete ho fatto! Sudore che diventa alloro Amore mio sei forte, ti adoro Fermarsi poi ad un tratto, lottar col reggiseno Che fai? Sei matto? Il cambio ed il volante Ma niente mi terrà distante C'era lei E cos'altro ancora? Mi ha colto in flagrante, io sono l'amante Ragazzi, silenzio assoluto, per carità Parlando del passato Mi sono raffreddato Il lenzuolo dov'è andato? Mi sembri un po' delusa Oppure ti ho offesa? Un goccio di benzina A farlo riposare. Riparte il motore? Su, vieni a me vicina Stasera ho ancora voglia di giocare