Si señor Eva Ayllon Tumba Una veredita alegre con luz de luna o de sol Bendita sobre una cinta con sus lazos de repol Árbol de los geranios es sonrisas con rubor Árbol de los claveles y las mejillas en flor Perfumada de magnolia rociada de mañanita La veredida sonríe cuando su piel acaricia Y la culi se ríe y la ventana se agita Cuando por esa vereda su fina estampa pasea Fina estampa caballero Caballero de fina estampa Un lucero que sonriera bajo un sombrero No sonriera mas hermoso ni mas luciera caballero Que en su andar, andar de luz del hacer al andar, anda Fina estampa caballero Caballero de fina estampa Un lucero que sonriera bajo un sombrero No sonriera mas hermoso ni mas luciera caballero Que en su andar andar de luz del hacer al andar anda Fina estampa caballero Caballero de fina estampa Un lucero que sonriera bajo un sombrero No sonriera mas hermoso ni mas luciera caballero Que en su andar andar de luz del hacer al andar anda Caballero Fina estampa Eva Ayllon Fina estampa Caballero Caballero de fina estampa

Déjame que te cuente limeño, Déjame que te diga la gloria Del ensueño que evoca la memoria Del viejo puente, del río y la alameda. Déjame que te cuente limeño, Ahora que aún perfuma el recuerdo, Ahora que aún se mece en un sueño, El viejo puente, el río y la alameda. Jazmines en el pelo y rosas en la cara, Airosa caminaba la flor de la canela, Derramaba lisura y a su paso dejaba Aromas de mistura que en el pecho llevaba. Del puente a la alameda menudo pie la lleva Por la vereda que se estremece al ritmo de su cadera. Recogía la risa de la brisa del río Y al viento la lanzaba del puente a la alameda. Déjame que te cuente limeño, Ay, deja que te diga, moreno, mi pensamiento, A ver si así despiertas del sueño, Del sueño que entretiene, moreno, tu sentimiento. Aspira de la lisura que da la flor de la canela, Adornada con jazmines matizando su hermosura; Alfombra de nuevo el puente y engalana la alameda Que el río acompasará su paso por la vereda. Y recuerda que... Jazmines en el pelo y rosas en la cara, Airosa caminaba la flor de la canela, Derramaba lisura y a su paso dejaba Aromas de mistura que en el pecho llevaba. Del puente a la alameda menudo pie la lleva Por la vereda que se estremece al ritmo de su cadera. Recogía la risa de la brisa del río Y al viento la lanzaba del puente a la alameda.

J'suis là pour toi Je suis tombée, tu m'as relevée Pas de plan A, pas de plan B Ils n'arrivent pas à nous arrêter Autour de nous, tout est carré Ils nous regardent, analysent Veulent nous détruire, me font la bise Ils sont rayés de la liste T'es mon binôme, t'es ma mif' C'est toutes des jalouses Elles veulent me pousser à bout On n'a pas le même parcours Bientôt l'monde sera à nous T'es là pour moi, j'suis là pour toi Et ça s'arrêtera pas Quand je doute, j'peux me confier Me reposer sur toi On s'regarde, on parle pas On s'regarde, on parle pas, tu sais On s'regarde, on parle pas On s'regarde, on parle pas, tu sais Même dans le malheur on fait la paire Je voudrais revenir en arrière Oublier ce qu'on s'est dit hier Sans toi le monde tourne à l'envers C'est toi et moi contre le mondo Ils arrêtent pas d'parler dans mon dos La vie d'artiste c'est pas toujours beau Mais grâce à toi j'serai jamais solo C'est toutes des jalouses Elles veulent me pousser à bout On n'a pas le même parcours Bientôt l'monde sera à nous T'es là pour moi, j'suis là pour toi Et ça s'arrêtera pas Quand je doute, j'peux me confier Me reposer sur toi On s'regarde, on parle pas On s'regarde, on parle pas, tu sais On s'regarde, on parle pas On s'regarde, on parle pas, tu sais On s'regarde, on parle pas, tu sais On s'regarde, on parle pas S'te plaît t'en vas pas loin de moi N'oublie pas ce qu'on s'était dit cette fois S'te plaît t'en vas pas loin de moi N'oublie pas ce qu'on s'était dit cette fois T'es là pour moi, j'suis là pour toi Et ça s'arrêtera pas Quand je doute, j'peux me confier Me reposer sur toi On s'regarde, on parle pas On s'regarde, on parle pas, tu sais On s'regarde, on parle pas On s'regarde, on parle pas, tu sais