قولوا لعمري يا وقلبي ما ينساكشي من وهران ل Marseille دلّالي من وهران ل Marseille دلّالي قولوا لعمري الكبدة اتقطعت بين زوج من Oran ل Marseille دلّالي من Oran ل Marseille دلّالي قولوا لعمري يا وقلبي ما ينساكشي من وهران ل Marseille دلّالي من وهران ل Marseille دلّالي قولوا لعمري ترقد وطفي الضو من وهران ل Marseille دلالي من وهران ل Marseille دلالي Les vagues s'écrasent sur les roches, fauchent, façades moches Vie de cloche poche, vie de pez fastoche Mais la poisse accroche ma face de métèque Je viens du bled, pleins de verbes dans les bagages Ca je tiens ma rage dans ma gorge La plage déserte me pousse au cafard Tu traînes dans les bars tard le soir Où les soûlards se filent au rasoir Spliff noir dans le cendar Je sombre dans le mégotrip égoïste Jette mes tripes dans la musique Mars, ma ville, un plateau Où le désert avance, un gâteau partagé à 10 Mes khos pendus à un lasso Nourri au gaz de ville, à la lumière orange Comme elle, je dérange, étranger aux pensées etrangers حتى نقول نبطل وترضى لي علي من وهران ل Marseille دلالي من وهران ل Marseille دلالي Tellement نبغيها يا نبدا نجيبها من وهران ل Marseille دلالي من Oran ل Marseille دلالي Des odeurs de couscous, de tajine, de pruneau De mafé, yassa, poisson frais Pâtes carbo les épices me collent à la peau Assise là, les pieds dans l'eau sous l'œil du tréo Ma ville s'éveille chaque matin quand les fourmis s'en vont au boulot Fragile, emporte ta faux, situation où tout le monde se marre L'économica autre comme une vieille bécane Pluries Ethnie cohabitation naturelle Les cultures, les mœurs, les couleurs dansent comme dans une aquarelle Seul le Serval dévoile la face B de la carte postale Atone cache les nuages, un cercueil passe, mauvais présage L'ennui vainqueur, sueur, peur devant les seringues de l'horreur Le noir château entré sans un mot Mars aspire au renouveau خلّوا البحَر ياكُلني ولّا زعافها من وهران ل Marseille دلّالي من وهران ل Marseille دلّالي خلّوا البحَر ياكُلني ولّا زعافهم من وهران ل Marseille دلّالي من وهران ل Marseille دلّالي يانا بغيت لقليبي المحنة الفاكرة من وهران ل Marseille دلّالي من وهران ل Marseille دلّالي قولوا لعمري ترقد وطفي الضو من وهران ل Marseille دلالي من وهران ل Marseille دلالي من وهران ل Marseille دلالي من وهران ل Marseille دلالي

Oh, oh Oh, oh Oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh Oh, oh Oh, oh Oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh C'est comme un baume sur mon coeur Quand je me ramène à toi Dire au revoir à mes peurs Créer mes propres lois C'est le parcours qu'on a fait Des kilomètres de joie C'est les chansons qu'on a chanté Qu'on a joué, qu'on a dansé Uno, dos, tres, cuatro (cuatro, cuatro) Uno, dos, tres, cuatro (cuatro, cuatro) Uno, dos, tres, cuatro (cuatro, cuatro) Uno, dos, tres, cuatro Mamacita pero ven p'aqui Mira que rico lo canta Dominique Oh, oh Oh, oh Oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh Oh, oh Oh, oh Oh, oh, oh Oh, oh, oh C'est une rencontre au soleil Mon oasis, mon Éden C'est un voyage dans le bonheur Une éclaircie sur mes peines C'est ma poursuite d'un rêve Je n'ai jamais baissé les bras Et toutes ces portes fermées Ne m'ont pas arrêtées Tu es là, on est là toi et moi Uno, dos, tres, cuatro (cuatro, cuatro) Uno, dos, tres, cuatro (cuatro, cuatro) Uno, dos, tres, cuatro (cuatro, cuatro) Uno, dos, tres, cuatro Mamacita pero ven p'aqui Mira que rico lo canta Dominique Y a avait que toi dans mes rêves les plus fous Oh, oh Oh, oh, oh, oh J'ai besoin de toi pour me garder debout Uno, dos, tres, cuatro Danse avec moi, danse avec moi Uno, dos, tres, cuatro Alors on bouge Uno, dos, tres, cuatro Comme avant Uno, dos, tres, cuatro Vamos pal'habana Uno, dos, tres, cuatro (cuatro, cuatro) Uno, dos, tres, cuatro (cuatro, cuatro) Uno, dos, tres, cuatro (cuatro, cuatro) Uno, dos, tres, cuatro Mamacita pero ven p'aqui Uno, dos, tres, cuatro Oh, oh Oh, oh Oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh Oh, oh Oh, oh Oh, oh, oh Oh, oh, oh, oh

Hudson died in Hudson Bay The water took its victim's name Now rivers rise toward riverside To change their names again A stranger walked in through the door Said All apartments are pre-war We laughed and asked him for his name He stayed until the end We watched the Germans play the Greeks He mocked the ninety-nine-year lease Our father signed which I declined To try and comprehend Over and over again are these never-ending visions Over and over again like a prize that's changing hands The time has come The clock is such a drag All you who change your stripes Can wrap me in the flag The legendary wooden gate First established real-estate Is lost to time like other crimes That won this pleasant land Over and over again are these never-ending visions Over and over again like a prize that's changing hands The time has come The clock is such a drag All you who change your stripes Can wrap me in the flag Hudson died in Hudson bay But I was born on Sutton Place The rising tide helped me decide To change my name again Some men tend to linger on And some make haste from Babylon And some will roam their ruined home Rejoicing to the end Over and over again are these never-ending visions Over and over again like a prize that's changing hands The time has come The clock is such a drag All you who change your stripes Can wrap me in the flag The lines are drawn The map is such a drag All you who change your stripes Can wrap me in the flag