Baissé Blessé - Blicassty

C'est vrai tu m'as blessé mais je t'aime encore Dis-moi comment faire, moi, j'veux juste oublier C'est vrai tu m'as blessé mais je t'aime encore Dis moi comment faire, moi, j'veux t'oublier De toutes ces années où je t'ai donné de moi J'voulais qu'on soit heureux, toi, tu ne voulais pas J'ai tout sacrifié même ma propre vie J'ai baissé ma garde, maintenant, j'en paie le prix Tous ces soirs à t'attendre, s'te plait dis-moi que tu m'aimes Moi j'pleurais mon âme, toi tu calculais pas mes appels À chaque fois je pardonnais, tu me jurais qu'c'était la dernière Mais maintenant c'est trop tard, c'est mort Tu seras jamais plus que mon ex C'est vrai tu m'as blessé mais je t'aime encore Dis-moi comment faire, moi, j'veux juste oublier C'est vrai tu m'as blessé mais je t'aime encore Dis moi comment faire, moi, j'veux t'oublier Et je pensais te connaître, en fait, je me suis trompé Et toi t'as joué ton jeu pendant toutes ces années J't'aurais donné ma vie, toi tu t'en foutais de la mienne Aujourd'hui je suis détruit, mon cœur rempli de haine Tous ces soirs à t'attendre, s'te plait dis-moi que tu m'aimes Moi j'pleurais mon âme, toi tu calculais pas mes appels À chaque fois je pardonnais, tu me jurais qu'c'était la dernière Mais maintenant c'est trop tard, c'est mort Tu seras jamais plus que mon ex C'est vrai tu m'as blessé mais je t'aime encore Dis-moi comment faire, moi, j'veux juste oublier C'est vrai tu m'as blessé mais je t'aime encore Dis moi comment faire, moi, j'veux t'oublier Et c'est vrai je t'aime encore Je fais tout pour t'oublier Je pense encore à toi à tort Dis-moi comment avancer Et c'est vrai je t'aime encore Et je fais tout pour t'oublier Je pense encore à toi à tort Mais je dois avancer C'est vrai tu m'as blessé mais je t'aime encore Dis-moi comment faire, moi j'veux juste oublier C'est vrai tu m'as blessé mais je t'aime encore Dis moi comment faire, moi, j'veux t'oublier

Dans le jardin de l'homme au cœur blessé L'herbe est brûlée, pas une fleur Sur l'arbre mort, plus rien ne peut pousser Rien que les fruits de sa douleur Les quatre murs de sa maison N'abritent que l'absence Où sont partis les compagnons Avec leurs rires et leurs chansons? Na-ya, na-ya Na-ya, na-ya Na-ya, na-ya Na-ya-la-la-la Parfois, des larmes viennent abreuver L'herbe brûlée du souvenir Mais quel soleil pourrait-il réchauffer Les jours enfuis ou à venir? Les quatre murs de sa maison N'abritent que l'absence Où sont partis les compagnons Avec leurs rires et leurs chansons? Na-ya, na-ya Na-ya, na-ya Na-ya, na-ya Na-ya-la-la-la C'est une chanson de Theodorakis Nous l'avons écrite en 1970 Si tu t'en souviens encore Tu peux la chanter plus fort Na-ya, na-ya Na-ya-la-la-la Jour après jour Les jours s'en vont Laissant la vie À l'abandon